L’artiste énonçait dans les années 80 : « Presser du rouge, du jaune, ou du vert d’un tube de couleur, c’est très bien, mais j’ai commencé à me demander de quoi il s’agissait vraiment ». Les oeuvres exposées au Palazzo Grassi jusqu’au 6 novembre montrent des accumulation de matières picturales dont beaucoup ont été ramenées de sa quête de pigments originels (lapis lazuli, réalgar…) en Australie ou en Inde.